
Depuis des années les chansons de Félix Leclerc
accompagnent Henry Dubos. Un jour, elles
rencontrèrent la musique slave. Est-ce vraiment un
hasard ?Félix Leclerc était aussi violoniste et sa
musique emprunte aux grands espaces de l’Europe
de l’est autant qu’à l’immensité de la terre canadienne :
silence, neige, taciturnes, bouleaux et longs secrets à
découvrir.
La guitare et le chant de Dimitri Derkacz, la cithare
de Martial Murray, le piano de Tania Dubos et les
textes dits par Élisabeth Touchard accompagnent
la voix chaude et grave de Henry Dubos dans une
ambiance de cabaret.
C’est un spectacle cabaret : des petites tables, des bougies,
un éclairage tamisé, les chansons Tziganes sont interprétées en Russe par Dimitri. Quel curieux hasard ! Félix Leclerc aimait à chanter le Galérien et voilà que la chanson jaillit du folklore russe. Et vous fredonnerez le « Petit bonheur »
marié aux « Yeux noirs ».
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